Mont-Saint-Michel : la Cour des comptes appelle deux opérateurs rivaux à enterrer la hache de guerre

Le Mont-Saint-Michel (Manche), en mai 2025. Le Mont-Saint-Michel (Manche), en mai 2025.

C’est une de ces bizarreries administratives dont la France a le secret. Le Mont-Saint-Michel, l’un des monuments les plus visités de France et classé au Patrimoine mondial de l’Unesco, est géré depuis cinq ans par deux institutions rivales, sous le regard de deux ministères, celui de la transition écologique, peu investi, et celui de la culture, étonnamment neutre jusqu’alors.

D’un côté, le jeune établissement public industriel et commercial (EPIC) du Mont-Saint-Michel, chargé depuis 2020 de développer localement l’activité économique autour du rocher granitique et de préserver l’environnement de sa baie. De l’autre, le Centre des monuments nationaux (CMN), qui a la main sur l’abbaye, chef-d’œuvre de l’architecture gothique, et sur ses remparts.

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