
La gouvernance du Mont-Saint-Michel, partagée entre un établissement public et le Centre des monuments nationaux, a attiré le regard de la Cour des comptes, qui appelle à la mise en place d’une gestion unifiée. On devrait bientôt savoir qui remportera la mise.
Sur la passerelle, des touristes, sac sur le dos et casquette vissée sur le crâne, défilent au milieu des flots. Tandis qu’au loin s’élève la « merveille » avec ses flèches qui hérissent le ciel. Depuis que l’Etablissement public industriel et commercial (Epic) a repris la gestion du site, le Mont-Saint-Michel a retrouvé son éclat d’antan. Et son attractivité.
Classé au patrimoine mondial de l’Unesco, il est l’un des sites les plus visités de France avec près de 3 millions de touristes par an (dont 1,5 million pour l’abbaye). Autant dire que les élus normands – à commencer par le maire du Havre Édouard Philippe, qui a lancé le projet en tant que Premier ministre – avaient vu juste en créant fin 2019 cette entité, chargée de mener à bien le chantier qui devait redonner au Mont son caractère maritime, tout en le sauvant de l’ensablement. « Notre modèle, c’était le château de Chambord qui a prouvé sa réussite, assurant 100 % de ses recettes de fonctionnement », confie Hervé Morin, président de la région Normandie.
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