Fabienne et Anne-Marie ont testé la Véloscénie entre Le Mont-Saint-Michel et le Perche

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Fabienne Debuchy et Anne-Marie Viala
Fabienne Debuchy et Anne-Marie Viala ont mis un peu plus de trois jours pour parcourir la distance entre le Perche et Le-Mont-Saint-Michel. ©DR

« C’était une expérience magique. Nous sommes revenues différentes ». Durant trois jours et demi, Fabienne Debuchy et Anne-Marie Viala, respectivement en charge du tourisme et de la randonnée au Parc naturel régional du Perche et responsable de l’office de tourisme Cœur du Perche, ont expérimenté une partie de la Véloscénie.

Parties de La Mesnière (Orne), elles ont parcouru au total 250 kilomètres pour rejoindre Le Mont-Saint-Michel. « Nous avions calculé avant de partir : un parcours de 185 kilomètres. Mais il y a des kilomètres qui se sont rajoutés pour rejoindre l’hébergement pour la nuit ou découvrir des lieux sur le chemin », raconte Fabienne Debuchy.

Une aventure bien préparée

Pour pouvoir « vivre cette micro-aventure » sereinement au sein du parcours de la Véloscénie, les deux femmes se sont bien préparées. « Aller au Mont-Saint-Michel depuis le Perche, c’est possible et à la portée de tous, mais il faut penser à certaines choses avant de partir », souligne Anne-Marie Viala.

La première chose : l’hébergement pour la nuit pour ceux qui ne souhaitent pas bivouaquer en pleine nature. « On recommande de s’y prendre en avance pour éviter les mauvaises surprises. Certains hébergements ne sont pas ouverts toute l’année », indique Fabienne Debuchy.

Deuxième conseil : tester son matériel avant de partir. Fabienne Debuchy et Anne-Marie Viala avaient fait le choix de partir avec des vélos électriques. « Il faut être sûr que l’autonomie du vélo soit suffisante pour faire les étapes », souligne Fabienne Debuchy.

Les moments de pause ont permis aux deux professionnelles du tourisme de découvrir certains lieux, mais aussi de tester des installations comme les box pour recharger les batteries.

Des lieux « sécurisés » qui permettent de « se libérer des vélos ». « On voit la Véloscénie différemment désormais. Il y a plein de lieux que nous avons pu identifier. Mais il y a aussi un peu de frustration, car il y a tellement de choses à découvrir.« 

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Les deux femmes retiendront avant tout, l’expérience humaine. « Il y a une super ambiance sur le parcours de la Véloscénie. Le cyclotourisme a un capital sympathie : les gens viennent spontanément vers vous. »

Les cyclos sont également toujours enclins à partager les bons plans. C’est aussi une bonne expérience à vivre au moins à deux.

Fabienne Debuchy

Fabienne Debuchy et Anne-Marie Viala ont également expérimenté la Véloscénie pour promouvoir le Perche et ses itinéraires. « Dans le Perche, il y a beaucoup de Voie Verte. Ce qui est un certain confort, car c’est un lieu sécurisé. Mais cela ne permet pas de découvrir ce qu’il y a en dehors. Notre but va être désormais d’inciter les cyclos à sortir, car c’est aussi ce qu’ils veulent voir, en proposant des itinéraires de boucles à faire », indiquent-elles.

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